Gilles Van Heems Knihy

Et c'est en cela que les mythes valent la peine qu'on y réfléchisse ! Partez à leur découverte grâce à La Mythologie pour les Nuls. De la définition même de la mythologie aux récits de la Grèce ancienne, en passant par ceux de la Rome antique, voici une introduction claire et amusante à toutes ces croyances fabuleuses qui ont façonné le monde. Retrouvez ainsi les histoires les plus célèbres des " people " de l'Antiquité : les Muses et autres nymphes, le bel Apollon, la fatale Aphrodite, Romulus et Remus, Pygmalion et Galatée, Prométhée enchaîné, le supplice de Tantale, etc. dans un livre de référence ludique et exhaustif. Si vous cherchez à vous documenter sur ces histoires aussi effrayantes que fascinantes, mais que vous êtes allergique aux livres académiques et barbants, cet ouvrage est fait pour vous ! Une garantie : vous ne connaîtrez pas l'ennui ! Il se passe toujours quelque chose de palpitant, d'insolite, d'amusant... de torride au royaume des dieux.

"À l'instar de Protée, le mythe grec prend mille formes pour nous échapper." Pourquoi Zeus, à peine marié, a-t-il avalé sa femme ? Comment Thésée a-t-il défait les Amazones et sauvé Athènes ? Qui se cache derrière "l'Ébranleur de la terre" ou "l'homme aux milles tours" ? Pour vous orienter dans le dédale de ces figures mythologiques, rien de plus simple : suivez le fil d'Ariane ! Ce dictionnaire à l'usage de tous, composé d'une centaine d'entrées, enrichi d'un index des noms latins et d'arbres généalogiques, vous entraînera au coeur d'une civilisation antique où héros et dieux régnaient en maîtres sur un monde de légendes.

Il y a un paradoxe de la mécanique quantique : voilà une théorie considérable de la physique contemporaine dont on est bien en peine de dire sur quoi elle porte et ce qu'elle signifie, car cela même ne va pas de soi. Le but de ce livre est de tenter d'élucider ce paradoxe. Pour cela, il convient de refaire table rase. Dans un premier temps, l'auteur entend n'appuyer sa construction que sur les certitudes tacites et les normes qui conditionnent la vie, la communication, et le travail au laboratoire. Cette façon de reconduire l'œuvre théorique aux gestes élémentaires du chercheur doit cependant éviter de n'aboutir qu'à un " empirisme dénué de sens " (Einstein). L'ouvrage apporte deux sortes de réponses à une telle critique. D'une part, on s'aperçoit que la forme de la théorie, loin d'être conditionnée par la seule nécessité de " sauver les phénomènes ", reflète de manière contraignante les conditions de possibilités d'un certain mode très général d'anticipation et d'objectivation des résultats expérimentaux. La " quantification " et les effets ondulatoires apparaissent pouvoir découler de ces conditions. D'autre part, si la référence, l'acte de visée vers un au-delà des manipulations instrumentales, ont été bloqués d'abord, ce n'était que pour mieux dégager les critères du choix qui peut être effectué ensuite entre plusieurs représentations de l'objet supposé de la physique quantique.