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Adalberto Giovannini

    Consulare imperium
    Les relations entre états dans la Grèce antique
    Les institutions de la République romaine des origines à la mort d'Auguste
    Der Prozess Jesu
    Le procès de Jésus
    Timuris Auftrag
    • Le procès de Jésus

      • 100 stránek
      • 4 hodiny čtení

      Ce livre porte sur la question toujours controversée de la responsabilité de ceux qui ont condamné Jésus : les Juifs ont-ils livré Jésus à Pilate parce que les Romains leur auraient enlevé la compétence de prononcer et d’exécuter la peine de mort ? ou les Romains ne leur auraient-ils pas enlevé cette compétence et auraient-ils livré Jésus à Pilate pour d’autres raisons ? Ce problème relève du droit constitutionnel lié à l’organisation de l’Empire romain et au statut du peuple juif ; la question est examinée ici sur le plan strictement institutionnel et juridique. Dans les Actes des apôtres et chez Flavius Josèphe, pour des délits contre la loi juive, le Sanhédrin a pu juger et le cas échéant condamner à la peine de mort les accusés sans devoir en demander l’autorisation au gouverneur romain. Inversement, le gouverneur a pu refuser d’intervenir dans des différends qui relevaient de la loi juive. On sait aussi par les Digestes et par d’autres sources romaines que, dans leur juridiction, les gouverneurs de province n’intervenaient normalement que dans les affaires qui impliquaient des citoyens romains ; il existait une tendance à laisser les non-citoyens régler leurs affaires selon leurs lois, même quand il s’agissait de délits passibles de la peine de mort. On sait enfin, par ces mêmes sources romaines, que dans l’Empire romain les Juifs de la Diaspora ont eu, jusqu’à la christianisation de l’Empire, le pouvoir de condamner à mort ceux de leurs coreligionnaires qui violaient la loi juive, en particulier les femmes adultères et les apostats. On comprend mieux la réticence de Ponce Pilate à condamner Jésus.

      Le procès de Jésus
    • Der Prozess Jesu

      Jüdische Justizautonomie und römische Strafgewalt

      • 93 stránek
      • 4 hodiny čtení
      Der Prozess Jesu
    • Cet ouvrage qui est, depuis la publication en 1927 de l’ouvrage de Léon Homo, 'Les Institutions politiques romaines', la première monographie en langue française entièrement consacrée aux institutions romaines, s’adresse aussi bien aux étudiants et aux profanes qu’aux chercheurs chevronnés. Le but recherché, dans la présentation proposée des institutions républicaines et de leur histoire, est de permettre aux lecteurs de faire clairement la distinction entre ces institutions et leur histoire telles que nous les connaissons par les sources antiques et ces institutions et leur histoire telles qu’elles sont traitées dans la recherche moderne. Dans ce but, l’essentiel de l’ouvrage a été consacré d’abord à une présentation des institutions romaines aux derniers siècles de la République, que nous connaissons très bien grâce à une documentation très riche et parfaitement cohérente, puis à une analyse de la fiabilité des sources antiques pour l’histoire des origines de ces institutions depuis la fondation de Rome. Pour ce qui est des derniers temps de la République, la mise au jour d’inscriptions et d’autres documents permet de mieux comprendre la transition des commandements extraordinaires de la fin de la République au principat instauré par Auguste. La discussion sur les nombreux problèmes que posent les interprétations et théories modernes est traitée à part sous le titre 'État de la recherche'.

      Les institutions de la République romaine des origines à la mort d'Auguste
    • Cet ouvrage n’est pas une histoire des relations internationales en Grèce, mais une présentation systématique des règles qui régissaient ces relations, aussi bien dans la paix que dans la guerre. Du fait qu’ils constituaient une société culturellement homogène et qu’ils adoraient les mêmes dieux, les Grecs obéissaient à des lois communes qui remontaient pour l’essentiel à l’époque archaïque. Le non-respect des serments et des traités, en particulier, était un crime qui était condamné par l’opinion publique et puni par les dieux. Surtout, la guerre était soumise à des règles reconnues par tous les Grecs et sanctionnées par les dieux, et ceux qui ne les respectaient pas finissaient tôt ou tard par en subir les conséquences.

      Les relations entre états dans la Grèce antique
    • Die Gerda Henkel Vorlesungen 1985 widmeten sich der Stadtgeschichte mit dem Fokus auf der Bürgerstadt, nicht der Residenzstadt. Die Bürgerstadt stellt eine prägnante Erscheinung unserer Kulturgeschichte dar, besonders im Mittelalter. In einer Gesellschaft, die durch persönliche Abhängigkeiten und strenge Hierarchien geprägt war, entstanden seit dem 10. und 11. Jahrhundert in den Städten Vereinigungen von gleichberechtigten und freien Bürgern, die ihre Angelegenheiten selbst verwalteten. Der Geist dieser Bürger findet Ausdruck in dem Rechtssatz: „Stadtluft macht frei“. Wer als Gutsuntertäniger oder Leibeigener in einer Stadt lebte, konnte nach einem Jahr seine feudalen Lasten ablegen, da sein Herr kein Recht mehr gegen ihn geltend machen konnte. Die stolzen Rathäuser und großen Bürgerkirchen der späten Gotik zeugen von diesem Gemeinsinn. Die erste Vorlesung der Reihe war der griechischen Polis gewidmet, da hier das städtische Bürgertum erstmals auftrat. Die griechische Polis gilt nicht nur als Urbild städtischer Kultur, sondern auch als Vorbild unserer heutigen Demokratie. Professor Giovannini stellte die Frage in den Mittelpunkt seines Vortrags, wie die griechische Polis entstanden ist.

      Forschungen zur Stadtgeschichte