Lydia Flem Knihy

This taboo-breaking book deepens the understanding of the death of one's parents through the experiences of the author, a daughter of Holocaust survivors. Her parents never communicated their imprisonment experiences, causing Lydia Flem to grow up in a stifling silence that was finally broken upon their deaths as she emptied the old house. She discovers that the lonely process of bereavement is not only one of grieving, but a chaotic jumble of emotions that range from anger and oppressive, infinite pain to revulsion, remorse, and a strange sense of freedom.

Vor dieser Aufgabe wird, früher oder später, jeder einmal stehen: Das Haus der Eltern ausräumen, wenn diese plötzlich nicht mehr sind.§Auf taktvolle und unsentimentale Weise geht Lydia Flem den widersprüchlichen Gefühlen nach, mit denen sie selbst sich konfrontiert sieht: Als sie die Handtasche der Mutter ausräumen, den Wäscheschrank leeren, all die Papiere durchsehen muss, die nie für ihr Auge bestimmt waren. Und was soll mit den kunstvoll selbstgenähten Kleidern ihrer Mutter passieren, von denen jedes eine Geschichte erzählt? Soll sie sie behalten, wegwerfen, verkaufen, verschenken?§Lydia Flems Eltern gehörten einer Generation an, die sich von nichts trennen konnte, weil ihre eigene Jugend von Verlust und Entbehren bestimmt war. Die Geschichte ihrer Familie, die nie erzählt wurde - die Großmutter kam in Auschwitz um, die Eltern überlebten deutsche Konzentrationslager - entdeckt die Autorin nun in den sorgsam gehüteten Gegenständen, die ihr Elternhaus füllen. Auf tröstliche Weise helfen sie ihr, mit diesem Gefühlsgemisch aus plötzlicher Freiheit, Verlassenheit und endgültigem Erwachsensein umzugehen.

Les habits collent à la peau. Ils nous protègent et nous exposent. Le vêtement happe le regard social et trahit notre part d’ombre. Les hommes et les femmes ne sont pas égaux dans cette course aux apparences.Dans ce livre, Lydia Flem raconte les vêtements de ses souvenirs. Elle mêle avec malice le grave au frivole. Sur un mode ludique, elle poursuit sa quête de l’intime en adoptant une forme devenue classique depuis les Je me souviens de Georges Perec dans les années 1970. Cette forme, Perec l’a métamorphosée après l’avoir empruntée à l’artiste américain Joe Brainard, ami de son ami Harry Mathews.De la petite fille à l’amante, de la séductrice à la militante des droits de la femme et des LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans), Lydia Flem s’amuse à psychanalyser nos gestes et nos codes vestimentaires. Cette promenade personnelle croise la garde-robe de nos souvenirs collectifs, photographies de mode, stéréotypes du savoir-vivre, scènes de cinéma, mots de la littérature, images de l’histoire et de l’actualité.Comme dans ses livres précédents, Lydia Flem explore ce qui appartient à chacun et à tous, le plus singulier et le plus universel.

C'est un Freud différent de l'image du théoricien austère que nous fait découvrir Lydia Flem, un médecin viennois profondément cultivé, puritain, mais aussi plein d'humour, qui entretient avec ses patients des relations courtoises allant parfois jusqu'à l'amitié. Dora, le petit Hans, l'Homme aux Loups cessent ici d'être des cas familiers de la galerie des portraits freudiens, pour redevenir des êtres de chair et de sang. Le livre nous restitue le terreau d'une recherche qui fit de la vie privée l'enjeu d'une quête scientifique et du pouvoir des mots un outil de guérison.

Offers an unconventional view of Casanova as a benevolent lover of women, an ardent believer in the Enlightment, who grew from a sickly Venetian infant, abandoned by his actress mother, to become a spirited voluptuary

Książka niezwykle szczera, dotykająca spraw bolesnych, o których rzadko się mówi. Książka o trzyosobowej rodzinie i o Historii, o doświadczeniu zagłady trwającym w następnych pokoleniach.

The world knows Freud as a thinker-one of the founding giants of modern culture. Now Lydia Flem paints a unique and unforgettable portrait of Frued the man- a father, husband, and friend, a secular Jew with passion for classical antiquity and European culture, torn between his need to be fully accepted in an anitsemitic society while remaining fatihful to his orgins

Après La Vie quotidienne de Freud et de ses patients, Lydia Flem nous fait rencontrer Freud, la plume à la main, écrivant le roman de l'inconscient. A la manière d'un détective, Lydia Flem cherche à connaître l'homme avec l'oeuvre. Elle se glisse dans son intimité créatrice pour tenter de comprendre comment il invente la psychanalyse et découvrir les secrets de son pacte avec l'inconscient. Elle restitue ses passions pour l'archéologie, l'amitié, la littérature. Elle montre comment les idées de Freud s'articulent à ses gestes quotidiens, ses lectures à son expérience clinique, ses voyages à son auto-analyse, sa vie onirique à l'élaboration de sa théorie, ses amitiés à l'écriture de son oeuvre. Tout se mêle et prend un sens, le charnel avec l'abstrait, le trivial avec le sublime, le jeu avec le sérieux. Freud dit ainsi des choses extraordinaires avec des mots ordinaires.