Skandály francouzského prezidenta v jeho druhém sedmiletém funkčním období.
Jean Montaldo Knihy






« Après le règne de François Mitterrand, marqué par la corruption des hommes et l'avilissement des moeurs de la République, comme des millions de Français j'avais vu en Jacques Chirac et sa majorité de droite les possibles sauveurs d'une France affaiblie, si ce n'est déshonorée par tant de vilenies.En France, les allées du pouvoir seraient-elles la propriété du diable ? Aujourd'hui, rien n'a changé et - pire encore ! - tout s'est aggravé, le chef de l'État s'étant perdu de réputation dans la tourbe des "affaires" . Voir son nom régulièrement cité dans les cabinets des juges d"instruction et les prétoires ne le trouble guère.Moi, si ! Cocu, certes, mais pas content !Mystère d"une justice atteinte d"une conjonctivite aiguë... quand il lui faut braquer son regard sur le premier magistrat de France.Alors, disons la vérité : tout aura été fait pour sauver le Président Jacques Chirac, chef des armées, preux général qui abandonne ses hommes de l"ombre sur le champ de bataille et se met aux abris... pendant qu"ils passent sous la mitraille. Trop, c"est trop !L"heure est enfin venue d"ouvrir, un à un, les dossiers noirs des années Chirac. Et de montrer comment ce clone de François Mitterrand a dépassé son maître. »Jean Montaldo
352pages. 22,4x14,6x3,8cm. Broché. Signé par un ancien propriétaire
"7 avril 1994 : François de Grossouvre est retrouvé mort, suicidé dans son bureau à l'Elysée. Nouvelle affaire d'Etat. Conseiller et vieux compagnon du président de la République dont il est depuis trente-cinq ans l'éminence grise, Grossouvre connaît les moindres secrets de François Mitterrand. Depuis 1982 et mes premières grandes enquêtes sur la corruption socialiste, je le rencontre régulièrement, à l'abri des regards. Durant toutes ces années, il devient un ami et me livre d'inquiétantes confidences sur les coulisses de l'Etat PS, les réseaux de l'affairisme politique et les " 40 voleurs ..." que le président de la République tolère autour de lui, encourage parfois, protège toujours. Conformément à ses vœux, le révèle dans ces pages pourquoi François de Grossouvre s'est senti trahi par le président. Pourquoi, jusqu'à la fin, il a porté à son encontre les plus graves accusations. A la suite de mon précédent livre, Lettre ouverte d'un " chien " à François Mitterrand au nom la liberté d'aboyer, j'ouvre ici de nouveaux dossiers. Ils donnent la clé du système pervers qui, après avoir désespéré le premier ministre Pierre Bérégovoy, a fini par tuer François de Grossouvre." [payot.ch]