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Pascal Sevran

    Le Livre de Poche: On dirait qu'il va neiger
    La Vie Sans Lui
    Les petits bals perdus
    La Mélancolie des fanfares
    On dirait qu'il va neiger
    Le Livre de Poche: Lentement place de l'église
    • " J'écris cela au début d'un siècle, n'importe lequel, de quelque part en France. Il a gelé la nuit dernière, nous verrons à la Pentecôte, peut-être avant, si les rosiers auront résisté. J'ai retrouvé le pull-over rouge que la femme du Duc avait tricoté pour Stéphane. Je ne prendrai pas froid. Ma mère m'appelle "mon grand". Plus rien ne presse. " P. S. Avec le temps, le journal prend une autre dimension. Abrupt, choquant, outrancier, péremptoire, mais authentique et souvent juste, il s'inscrit dans la lignée des idoles littéraires de son auteur : Emmanuel Berl, dont il fut le secrétaire et l'ami, Jouhandeau, Chardonne, Léautaud.

      Le Livre de Poche: Lentement place de l'église
    • La Mélancolie des fanfares

      • 248 stránek
      • 9 hodin čtení

      Toutes les fenêtres dans la nuit racontent une histoire différente. Un peu de la nôtre aussi. Je guette des ombres aux fenêtres. Selon qu'on aperçoit une bibliothèque ou l'éclair d'un écran de télévision, selon qu'une ampoule pendouille au plafond, ce n'est pas la même. Des vies, des petites vies, des hommes et des femmes qui s'embrassent, et se déchirent... P. S.

      La Mélancolie des fanfares
    • Les petits bals perdus

      • 198 stránek
      • 7 hodin čtení
      4,0(1)Ohodnotit

      « Jamais je n'ai vécu ce cauchemar avec l'idée d'en faire de la littérature. Mais ce Journal sera, je le veux, la preuve étonnante que je suis toujours en vie. » Pascal Sevran est mort le 9 mai 2008. Jusqu'au bout, au mépris du mal terrible qui le ronge, il reste le témoin lucide et emporté d'une époque qui le passionnait, le chroniqueur amusé de la vie parisienne et de son village de Morterolles, l'observateur ironique d'un monde qui lui convenait mal.Le neuvième volume de ce Journal , entrepris en 2000 avec La vie sans lui , sera le dernier.

      Les petits bals perdus
    • Salué par la presse unanime dès la parution de son premier roman Le Passé supplémentaire (Prix Roger Nimier en 1979), Pascal Sevran est « un écrivain né » qui présente à la télévision des émissions consacrées à la défense de la chanson française.La vie sans lui est le journal intime d'un homme blessé, face à l'absence du garçon qui partagea sa vie dix-huit années durant.Le destin de l'auteur bascule le 16 octobre 1998, jour de son anniversaire, quand Stéphane ferma les yeux pour toujours. L'amour et le souvenir de l'amour brûlent les pages de ce livre qui fut l'un des plus grands succès de librairie de l'année 2000.

      La Vie Sans Lui
    • Avec La Vie sans lui, puis Des lendemains de fête, où il évoquait de façon bouleversante et pudique le deuil de son compagnon Stéphane, Pascal Sevran a ému un immense public et révélé une part jusque-là ignorée de sa personnalité. Il poursuit ici ce journal où les faits d'actualité, les rencontres, les lectures, se reflètent dans des pages tour à tour vives et graves, aiguës et poétiques, singulièrement musicales. Ses fidélités (Mitterrand, Chardonne, Trenet), ses sourires ou ses agacements, ses révoltes, son goût de la solitude, sa hantise du temps et de la mort : tout cela tisse jour après jour une œuvre où se reflète une personnalité complexe et attachante.

      Le Livre de Poche: On dirait qu'il va neiger
    • Le Privilège des jonquilles

      • 304 stránek
      • 11 hodin čtení

      Christophe, le nouveau jardinier, est allé ramasser les premières fleurs dans le parc, sous les bois. Il a posé sur le rebord de la fenêtre un bouquet d'or pour moi. Il n'y a jamais eu qu'un jeune homme ici avant lui pour cueillir les fleurs. Stéphane avait le privilège des jonquilles.

      Le Privilège des jonquilles