"In 1870, Leopold von Sacher-Masoch publishes 'Venus in Furs, ' an erotic novel revealing the author's desire to be dominated by a woman. After the success of the novel, a woman turns up at his doorstep and offers to take on the role of the dominant woman. He submits to her completely and they get married. Years later, Leopold has remarried and lives a quiet life, far removed from the sexual escapades of his first marriage. This is when he learns that his surname is being used, to his detriment, to describe a new sexual perversion: masochism."
Alma Mahlerová, slavná žena slavných mužů: Gustava Mahlera, Waltera Gropiuse, Franze Werfela a milenka a múza mnohých dalších: Gustava Klimta, Alexandra von Zemlinskyho a Oskara Kokoschky, prožila dlouhý život (1879–1964) ve Vídni, Berlíně, New Yorku či Beverly Hills, který z velké části zasvětila vytváření vlastní legendy. Catherine Sauvatová ve své biografi i odvážně demytizuje obraz této jistě neobyčejné ženy, nevyhýbá se přitom ani odhalování temných stránek její povahy (včetně celoživotního sklonu k antisemitsmu), a přináší tak zcela nový portrét „velké vdovy“, jak Almu s lehkým posměchem nazýval Thomas Mann.
Passions et rêves d'une ville Dans cette capitale, où tous les styles s'enchaînent sans heurts, flottent toujours des légendes merveilleuses, ainsi que les traces encore si présentes de grands écrivains et musiciens... Vision d'une trame de lumières : du roman au gothique jusqu'à la Renaissance Prague se découvre au fil de la superbe sobriété des vestiges romans en passant par la flamboyance du gothique, jusqu'à la Renaissance dont la thématique des sgraffites s'approprie un nouvel univers. Vision d'un baroque exalté et singulier Les exaltations baroques, dont les hyperboles triomphantes et les folles contorsions sont chargées de convaincre, marquent l'architecture de la cité. Après la défaite des hussites, la Contre-Réforme affirme sa suprématie avec force marbres, sculptures et autres stucs. Vision du renouvellement des styles : de l'historicisme à la Sécession Cette ville s'attache aux nouveaux emblèmes historiques d'une culture et d'une langue en quête d'elles-mêmes. D'un historicisme quelque peu austère aux volutes sinueuses d'une Sécession très décorative, la capitale affirme son identité. Vision de toutes les modernités du XXe siècle Prague s'intéresse aussi à toutes les modernités du XXe siècle. Du cubisme au rondocubisme, puis du structuralisme au fonctionnalisme, les lignes sont raisonnées, vigoureuses et déterminées. Et aujourd'hui encore, l'inventivité architecturale n'a pas déserté la capitale.
'Ja, ich liebe meine Sahara, ich liebe sie mit einer dunklen, geheimnisvollen, tiefen, unerklärlichen, aber durchaus wirklichen und unzerstörbaren Liebe.' Weitgehend unerforscht war die Sahara, die Isabelle Eberhardt (geboren 1877 in Genf, gestorben 1904 in Aïn Safra) so oft durchstreifte. Die Tochter einer russischen Aristokratin war, wie so viele Europäer ihrer Zeit, für den Orient entflammt. Schon als Teenager trat sie zum Islam über, mit zwanzig kam sie – endlich – nach Algier. Gekleidet wie ein Mann in Gandoura und Burnus, bereiste sie Algerien und die Gebiete nahe den Grenzen Marokkos und Tunesiens. Aus kritischer Distanz beobachtete sie das Agieren der französischen Kolonialmacht und zeichnete in ihren Reportagen, Briefen und Tagebüchern ein einfühlsames Bild der Menschen und der Natur. Als einer der wenigen Europäer wurde sie aufgenommen in eine Bruderschaft, und sie ist die einzige Europäerin, nach der in Algier eine Straße benannt ist.
Fille d'aristocrates russes exilés, née en Suisse en 1877, Isabelle Eberhardt découvre à vingt ans le désert : " Tout d'abord El-Oued me fut une révélation de beauté visuelle et de mystère profond, la prise de possession de mon être errant et inquiet, par un aspect de la terre que je n'avais pas soupçonné ". Sept ans plus tard, en 1904, elle meurt à Ain-Sefra, en Algérie, noyée dans une crue en plein désert. Durant sa courte vie, cette femme de lettres, souvent vêtue en homme, mène une vie aventureuse en Algérie et au Sahara, épouse un autochtone, se convertit à l'Islam, et devient journaliste à la Dépêche algérienne et à l'Akhbar. Ses récits qui parurent tous après sa mort montrent sa fascination totale pour le désert. Grâce aux photographies anciennes qui font revivre ces lieux magiques au tout début du XXe siècle et aux splendides photos de Jean-Luc Manaud qui montrent un désert intemporel, nous suivons les traces d'Isabelle Eberhardt de Marseille où elle embarque en 1897 et cheminons avec elle en Tunisie, en Algérie, dans les ksour, les palmeraies, les mosquées et dans le désert, celui dont elle a rêvé, celui sur lequel elle a écrit pendant sa courte vie.