Narrating the self in early modern Europe
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What does it mean to narrate the self? Is there a ‘self’ to be narrated? What form should such narratives or writings take? The authors of the sixteen essays collected in this volume use a variety of approaches to study a broad range of what are now called ‘ego-documents’ from the Renaissance to the beginning of the nineteenth century. From them it emerges that ‘the self’ is not an acknowledged fact, but rather a historical process, which is neither linear nor stable. Que peut bien signifier l’écriture de soi à l’époque moderne ? Y a-t-il même un « moi » à décrire et raconter ? Quelles formes peuvent prendre de tels récits ? Les seize contributions rassemblées dans ce volume cherchent à répondre à ces questions en interrogeant, suivant diverses approches, une grande variété de textes de la Renaissance à la Révolution, relevant de ce que l’historiographie tend à nommer des « ego-documents ». A travers l’étude de ces textes, il apparaît que le « moi », loin d’être un donné universel, est le fruit d’un processus historique qui n’est ni linéaire ni stable.
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Narrating the self in early modern Europe, Bruno Tribout
- Jazyk
- Rok vydání
- 2007
Doručení
Platební metody
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- Titul
- Narrating the self in early modern Europe
- Jazyk
- francouzsky
- Autoři
- Bruno Tribout
- Vydavatel
- Lang
- Rok vydání
- 2007
- ISBN10
- 3039107402
- ISBN13
- 9783039107407
- Série
- European connections
- Kategorie
- Skripta a vysokoškolské učebnice
- Anotace
- What does it mean to narrate the self? Is there a ‘self’ to be narrated? What form should such narratives or writings take? The authors of the sixteen essays collected in this volume use a variety of approaches to study a broad range of what are now called ‘ego-documents’ from the Renaissance to the beginning of the nineteenth century. From them it emerges that ‘the self’ is not an acknowledged fact, but rather a historical process, which is neither linear nor stable. Que peut bien signifier l’écriture de soi à l’époque moderne ? Y a-t-il même un « moi » à décrire et raconter ? Quelles formes peuvent prendre de tels récits ? Les seize contributions rassemblées dans ce volume cherchent à répondre à ces questions en interrogeant, suivant diverses approches, une grande variété de textes de la Renaissance à la Révolution, relevant de ce que l’historiographie tend à nommer des « ego-documents ». A travers l’étude de ces textes, il apparaît que le « moi », loin d’être un donné universel, est le fruit d’un processus historique qui n’est ni linéaire ni stable.