Tehran, Lipstick And Loopholes
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A fascinating and funny portrait of daily life in Tehran as seen through the eyes of a woman trying to renew her passport.
Nahal Tajadod se ve své tvorbě zaměřuje na propletené dějiny a kulturní výměny mezi Íránem a Východem. Její práce zkoumá, jak perské vlivy formovaly čínskou civilizaci, a osvětluje roli íránských misionářů při šíření různých náboženství do Číny. Tajadod se hluboce ponořila do súfismu a zkoumá jeho duchovní tradice, přičemž její literární díla často čerpají z této mystické filozofie. Prostřednictvím svého psaní propojuje íránské kulturní dědictví s širším světem a nabízí jedinečný pohled na propojení civilizací.





A fascinating and funny portrait of daily life in Tehran as seen through the eyes of a woman trying to renew her passport.
Die Araber drangen mühelos in das iranische Territorium ein, während die Sassaniden vergeblich kämpften. Die einst gefürchtete Armee war gelähmt von Erschlaffung und Enttäuschung. Als die Araber Ktesiphon belagerten, erlebten die Menschen Panik und verzweifelten Gebete. Der junge König Jesdegerd erkannte die Bedeutung des Rufs "Allah akbar".
Deux femmes se parlent. Deux Iraniennes. La premiere, jeune comedienne au succes grandissant, est nee apres la revolution de 1979, et n'a connu que le regime islamique. La seconde, ecrivain reconnu, a grandi dans l'Iran du Shah. Nous les suivons pas a pas dans leur vie quotidienne. La premiere raconte son enfance, sa decouverte de l'amour, ses engagements politiques, ses demeles avec la censure, son exil. La seconde, installee a Paris depuis trente ans, se souvient de l'Iran de sa jeunesse ou elle pouvait se promener sans foulard et en minijupe. Un roman a deux voix, drole, pathetique, violent, doux parfois, qui raconte la vie des femmes dans l'Iran d'aujourd'hui."De ces deux voix vibrantes nait un Iran de beautes, de contradictions. Nahal Tajadod nous brosse ici un portrait magistral, bouleversant, de son pays, avec une grande poesie, d infinies nuances, de l humour, un sens profond du tragique." Patricia Reznikov, L Humanite."
En 1839, sur le chemin de Nadjaf, le mollah Zeyn ol-Abedin, venu de cette terre de forêts, d'ogres et de marais qu'est le Mazandaran, s'arrête à Ispahan. A la faveur d'une halte dans le ghetto chrétien, il entend une pianiste arménienne jouer Beethoven, rencontre le comte de Sercey, ambassadeur de France. Sa vie sera transformée par ces rencontres qui lui entrebâillent la porte de la modernité, la destinée de sa famille et de ses parentèles bouleversée pour des générations. Cet homme, est le arrière-grand-père de l'auteur.