Prix des lycéens allemands 2025
Set de trois livres de jeunesse / Paket mit drei Jugendromanen
Azouz Begag je francouzský spisovatel, politik a výzkumník v oblasti ekonomie a sociologie. Ve své literární tvorbě, která zahrnuje přibližně 20 děl pro dospělé i děti, zkoumá koncept "tří úrovní bohatství" v dnešní francouzské společnosti. Begag se zaměřuje na výhody multikulturalismu, který propojuje novou multietnickou přítomnost s historickým a přirozeným bohatstvím regionálních kultur, jazyků a úspěšnou integrací předchozích imigračních vln. Jeho díla reflektují komplexní a obohacující povahu moderní francouzské identity.






Set de trois livres de jeunesse / Paket mit drei Jugendromanen
In dieser autobiographischen Geschichte erzählt Azouz Begag von seiner Kindheit in Lyon, von den sonntäglichen Spaziergängen auf dem Flohmarkt gemeinsam mit seinem Vater, von den Schwierigkeiten seines Vaters sich in Frankreich zu integrieren und vor allem die französische Sprache zu erlernen. Abgestimmt auf Découvertes (bisherige Aufgabe). Ab dem Ende des 2. Lernjahres.
Il n'y a pas si longtemps, des bidonvilles se dressaient sur les berges du Rhône. II n'en reste aucune trace. ceux qui ont vécu là, les pionniers de l'immigration algérienne, vieillissent et s'effacent en silence. L'enfant du quartier, le gone du Chaâba, lui, est devenu romancier et sociologue. Sa planète est désormais celle des idées et des mots, des aéroports et des salles de congrès qu'il traverse au pas de course. C'est un homme du Nord, un Occidental pressé, en même temps qu'un Arabe aux émotions à fleur de peau. Certains jours, il ne sait plus d'où il est.Quelque part à Lyon, dans un hôpital anonyme, son père, vieil immigré aux mains cimentées, s'éteint comme il a vécu : sans déranger. La smala se retrouve autour de ce vide. Des mots, des gestes, des odeurs, des prières ressurgissent. Une mémoire venue de loin, de cette autre rive, devenue légende, où l'écrivain et sa fille conduiront ensemble le corps du père au cours d'un étonnant voyage à rebours de leur histoire. Un grand roman de rire, de larmes et d'amour...
Ils sont jeunes. Ils vivent en bande. Leur quartier est le monde. Vincent, rêveur et imprévisible, ne sait communiquer que par la violence, physique ou verbale. Luis, " né avec un pied en Espagne, un autre à Instanbul ", cherche sa place. Momo écrit sa vie. Un jour, la première phrase du livre disparaît, puis la deuxième, puis la troisième. Elles s'effacent du cahier, laissant un blanc derrière elles, et réapparaissent dans la bouche de Vincent. Les mots, comme les armes, suivent toujours des parcours secrets et périlleux.
Übersetzung aus dem Französischen und Nachwort von Regina Keil. „Ein Mann, dem man die Wurzeln abschneidet, hat auch keinen Kopf mehr.“ Die „Insel der Winde“, ein halbimaginäres französisches Übersee-Departement, ist die Heimat von Siloo Bali. Er lebt dort mit einem Hund, zwei Brüdern, drei Schwestern und seinen beiden Bäumen, Arbi und Arbo. Ein Leben von paradiesischer Ereignislosigkeit, wären da nicht die Vertreter, die den Eltern eine hochexplosive Enzyklopädie des Wissens andrehen, der Lehrer Albercadaire, der so unerwartet aus „Unseremschönenfrankreich“ auftaucht, wie er nach Djibouti entschwindet, nicht ohne Siloo Bali zwei beunruhigende Bücher zu hinterlassen, sowie ein Walfischjunges, welches das Jagdfieber der Insulaner weckt - und Siloo Balis Mitgefühl.
Daß die Erde rund ist und manch anderen „neumodischen Kram“ mag der Vater des algerischen Jungen nicht glauben, der von Algerien nach Lyon gezogen ist. „Aber die Erde ist rund!“ sagt der Junge zu seinem Vater, doch der hat seine eigenen Theorien. Aufgewachsen in einem kleinen Dorf in Algerien, war er schon früh als Hirtenjunge mit den Tieren unterwegs; für Schule blieb da keine Zeit. Jetzt lebt er mit seiner Familie in Lyon, mitten in einer modernen Welt, und doch gefangen in Erinnerungen und Traditionen. Eine liebevoll erzählte, kleine, humorvolle Geschichte mit Bildern von Catherine Louis.
Les profs trouvent qu'il s'en sort bien "pour un étranger". Les policiers s'adressent à lui en petit-nègre. Lui, il s'est choisi un drôle de nom, qu'il aime "parce que là, on voit pas que je suis arabe. Pas comme Ben Abdallah que je suis obligé de porter comme une djellaba toute la journée en classe."