Völkisch-religiöse Gruppierungen hofften, dass die 1933 freudig begrüßte Machtübernahme der Nationalsozialisten auch einen »neuen Deutschen Glaubensfrühling« einläuten werde. Dies sollte sich bald als eine illusionäre Selbsttäuschung erweisen. Der deutschchristliche wie auch der konkurrierende »neuheidnische« Flügel der völkisch-religiösen Bewegung scheiterten dabei nicht nur an ihrem Unvermögen, persönliche wie religiös-weltanschauliche Gegensätze zu überwinden und die divergierenden Strömungen und Interessen zu bündeln. Sie hatten vor allem ihre Handlungsspielräume über- und mehr noch das nationalsozialistische Machtkalkül unterschätzt, auch wenn einzelne Gruppierungen und Protagonisten von maßgeblichen Akteuren des polykratischen Systems zeitweise Unterstützung erfuhren.
Uwe Puschner Knihy






Völkisch und national
- 429 stránek
 - 16 hodin čtení
 
Issu de la troisième phase du programme «France-Allemagne au XXe siècle. – La production de savoir sur l’Autre» de la Maison des Sciences de l’Homme Lorraine, ce volume explore le rôle de plus de vingt institutions universitaires françaises, allemandes et franco-allemandes dans la production et la diffusion du savoir sur l’autre pays au XXe siècle. Le premier chapitre présente des institutions spécialisées dans la communication interne aux disciplines concernées par cette production de savoir. Le second chapitre se concentre sur des structures dédiées exclusivement à l’enseignement et à la recherche. Le troisième chapitre aborde des institutions engagées principalement dans la recherche et l’expertise, s’adressant tant au milieu universitaire qu’aux professionnels et à la société civile. Enfin, le quatrième chapitre regroupe des organismes qui illustrent les évolutions des relations franco-allemandes et qui sont dédiés à la médiation et à l’information. Ce volume met en lumière les diverses contributions de ces institutions à la compréhension mutuelle entre la France et l'Allemagne, reflétant ainsi les enjeux académiques et sociaux des échanges entre les deux pays tout au long du siècle passé.
Die völkische Bewegung im wilhelminischen Kaiserreich
- 464 stránek
 - 17 hodin čtení
 
Die völkische Bewegung, von der direkte Verbindungslinien zum Nationalsozialismus führen, bildete sich nicht erst in der Weimarer Republik aus. Bereits lange vor dem Ersten Weltkrieg war - von der Forschung bisher vernachlässigt - ihr Gedankengut vollständig ausgeprägt. Uwe Puschner stellt die vielfältigen Ausprägungen dieses Phänomens vor 1914 dar und liefert so einen wichtigen Beitrag zur Geistesgeschichte der Jahrhundertwende.
This work explores the complex interplay of milieu and political culture during the Wilhelminian era, focusing on the emergence of völkische ideology. It examines key thinkers and agitators, including Paul Anton de Lagarde and Jörg Lanz von Liebenfels, who shaped nationalist and racial discourses. The text addresses the existential crisis of institutions and counter-movements, highlighting the role of Protestantism and völkische religion in the German Empire, as well as the search for an "ethnic" religion among various groups. It delves into the intersection of German prehistory research with nationalism and racism, the freethought movement, and social Darwinist theories. The study also covers völkische adult education, publishing, and various organizations such as the "Alldeutsche Verband" and the "Werdandi-Bund." It critiques social, economic, and political modernization, including völkisch-racist settlements and nudism, while addressing themes of racism, race hygiene, and antisemitism. The narrative includes cultural critiques, examining Wagnerism, völkische art and literature, and the influence of figures like Felix Dahn and Karl May. It concludes with an analysis of völkische tendencies in historiography and linguistics, alongside biographical sketches and organizational indexes, providing a comprehensive overview of the völkische movement's impact on German society.
Kulturpessimismus / le Pessimisme Culturel
Analysen and Akteure & Analyses and Acteurs
Kulturpessimismus ist eine der Signaturen der Jahrzehnte vom Übergang zum 20. Jahrhundert bis zum Ende der Weimarer Republik. Mit dem Schlagwort ist ein Erklärungsansatz verbunden, wonach der von Zeitgeistpropheten ,rechter' Couleur verbreitete Kulturpessimismus dem Nationalsozialismus den Boden bereitet habe. Dagegen wurden kritische Einwände vorgebracht. Der Sammelband befasst sich in ideen- und ideologiegeschichtlicher Perspektive mit den intellektuellen Horizonten von Kulturpessimismus und er widmet sich dessen Protagonisten und den aus ihrer Auseinandersetzung mit der als bedrohlich wahrgenommenen Gegenwart hervorgegangenen Metakritiken und Utopien. Le pessimisme culturel est l'un des thèmes marquants des décennies allant du tournant du XXe siècle à la fin de la République de Weimar. On lui associe souvent une manière de thèse selon laquelle il aurait été propagé par des prophètes inspirés par l'esprit du temps, eux-mêmes d'orientation 'droitière', et aurait fait le lit du national-socialisme. A contrario, certains ont formulé des objections critiques quant à cette thèse. Partant de l'histoire des idées et des idéologies, les études rassemblées ici se concentrent sur le contexte intellectuel du pessimisme culturel et étudient ses protagonistes ainsi que les métacritiques et utopies issues de leur confrontation avec un présent qu'ils percevaient comme menaçant. .
